Background

Actualités

Découvrez nos derniers articles sur les diagnostics immobiliers, la réglementation et nos conseils pratiques.

À LA UNE
Diagnostic obligatoire : focus sur la réforme de 2025
19 décembre 2025

Diagnostic obligatoire : focus sur la réforme de 2025

Une année marquée par des changements majeurs dans les diagnostics immobiliers En 2025, le domaine du diagnostic immobilier a été profondément transformé par l’application de nouvelles dispositions réglementaires. Ces ajustements ont eu des répercussions sur l’ensemble des acteurs de l'immobilier, qu’ils soient propriétaires, bailleurs ou gestionnaires de biens. À travers l’évolution de plusieurs obligations, la réforme de cette année a introduit de nouvelles pratiques essentielles à respecter pour mener à bien toute transaction ou location. Le diagnostic de performance énergétique : des exigences renouvelées Le diagnostic de performance énergétique, ou DPE, occupe désormais une place prédominante dans la constitution des dossiers de diagnostics. Sa durée de validité, maintenue à dix ans, s’accompagne cependant de nouvelles modalités concernant les anciens diagnostics : Les DPE réalisés avant juillet 2021 sont désormais caducs en raison de méthodes de calcul jugées dépassées. Les diagnostics effectués entre début 2013 et fin 2017 ont perdu leur validité à la fin de l’année 2022. Les bilans établis entre janvier 2018 et juin 2021 ne sont plus acceptés depuis le 31 décembre 2024. En conséquence, depuis cette année, la remise à jour du DPE est incontournable pour toute vente ou mise en location, garantissant ainsi la conformité des transactions avec la réglementation en vigueur. Le DPE désormais obligatoire pour les meublés de tourisme En 2025, un nouveau texte est venu élargir le champ du DPE aux locations saisonnières. Selon les dernières dispositions, la présentation d’un DPE est désormais requise pour toute demande d’autorisation de location de meublé de tourisme, lorsque le maire en fait la demande. Cette mesure s’accompagne d’un calendrier progressif : Jusqu’à 2034, seuls les logements notés de A à E peuvent être loués sous ce statut. À compter de janvier 2034, seuls les biens classés de A à D seront autorisés à être proposés en location touristique. Cet encadrement vise à inciter les propriétaires à améliorer la performance énergétique de leurs logements dédiés à la location de courte durée. L’audit énergétique obligatoire pour les habitations individuelles L’obligation d’effectuer un audit énergétique s’est élargie en 2025, incluant désormais l’ensemble des maisons et immeubles détenus par un seul propriétaire et classés E au DPE, en plus des habitations classées F ou G. Ce contrôle, valable cinq ans, accompagne la planification de travaux de rénovation énergétique, incitant ainsi à la modernisation du parc immobilier français. Le DPE collectif et l’extension du plan pluriannuel de travaux Les copropriétés sont également concernées par de nouvelles obligations en matière d’évaluation énergétique. Depuis l’an passé, les immeubles collectifs possédant plus de deux cents lots, ainsi que les bâtiments en monopropriété, étaient tenus de réaliser un DPE collectif. À partir de 2025, les copropriétés de cinquante à deux cents lots sont également incluses dans ce dispositif. Cette évaluation d’ensemble permet de hiérarchiser les interventions à effectuer pour optimiser la performance globale des résidences. De manière parallèle, la généralisation du projet de plan pluriannuel de travaux (PPPT) s’est poursuivie, s’imposant à toutes les copropriétés de plus de quinze ans destinées, en tout ou en partie, à l’habitation, ainsi qu’aux copropriétés de moins de 51 lots dès cette année, et à l’ensemble des ensembles de plus de 51 lots. Le PPPT encourage ainsi la programmation anticipée des travaux, et tout particulièrement des rénovations énergétiques. L’obligation légale de débroussaillement intégrée dans les diagnostics Autre nouveauté majeure : l’intégration de la réglementation sur le débroussaillement dans les états des risques et pollutions (ERP). Cette initiative vise à mieux prévenir les incendies en rendant obligatoire le débroussaillement pour tous les terrains concernés, renforçant ainsi la sécurité collective dans les zones exposées. Quelles incidences pour les professionnels du secteur immobilier en 2025 ? L’entrée en vigueur de ces obligations renouvelées a exigé des professionnels du secteur une vigilance accrue, une actualisation permanente de leurs compétences et une capacité d’accompagnement renforcée auprès de leurs clients. La rapidité d’exécution et la conformité des diagnostics sont plus que jamais au centre des préoccupations, pour sécuriser juridiquement et pratiquement chaque transaction. En définitive, la réforme de 2025 aura marqué un tournant dans l’univers des diagnostics immobiliers, en instaurant des normes plus strictes, des procédures clarifiées et en consolidant davantage le rôle des experts du secteur. Pour répondre à ces nouveaux enjeux, une adaptation constante et une veille réglementaire s’imposent à tous les acteurs du marché.

Les signes invisibles de l’amiante dans un bâtiment
21 novembre 2025

Les signes invisibles de l’amiante dans un bâtiment

Une menace encore cachée dans de nombreux immeubles Bien que son usage soit proscrit en France depuis 1997, l’amiante demeure présent dans de nombreux bâtiments érigés avant cette date. Prisé pour ses propriétés isolantes et sa solidité, il fut massivement intégré dans différentes parties des constructions durant des décennies, ce qui rend son identification essentielle pour préserver la santé des occupants. Où l’amiante se dissimule-t-il le plus souvent ? Repérer l’amiante n’est pas toujours évident, puisque ce matériau s’intègre à de nombreux composants invisibles ou peu accessibles. Certains éléments présentent cependant davantage de risques d’en contenir, notamment les isolants thermiques, les couvertures, ou encore certains revêtements de sol. Isolants des tuyauteries et des équipements techniques Les systèmes d’isolation entourant les canalisations et appareils de chauffage conçus avant la fin des années 90 sont régulièrement concernés. Ces protections, souvent pulvérulentes ou sous forme de gaines et de manchons grisâtres ou blanchâtres, se trouvent dans les chaufferies, caves, et locaux techniques. Si leur surface est dégradée, le risque de dispersion de fibres dangereuses augmente fortement. Éléments de toiture et façades en amiante-ciment Les plaques ondulées utilisées sur les toits, abris de jardin ou façades, ainsi que certains conduits, sont susceptibles d’intégrer de l’amiante, généralement sous forme compacte. Leur aspect gris, la texture rugueuse, des traces de mousse, des fissures ou tout signe d’usure doivent être surveillés de près, car toute intervention (perçage, nettoyage) est susceptible d’entraîner un danger si le matériau est fragilisé. Revêtements de sol et colles contenant de l’amiante Entre les années 1960 et 1980, beaucoup d’immeubles ont vu leurs sols habillés de dalles carrées en vinyle, souvent posées grâce à des colles spécifiques. Ces revêtements, discrets par leur aspect (souvent de couleur neutre ou sombre), peuvent libérer des fibres lors de travaux tels que l’arrachage ou le ponçage, alors même qu’aucun signe visuel n’évoque la présence d’amiante. Pourquoi le diagnostic amiante est-il vital ? Quand un projet immobilier se profile, qu’il s’agisse de travaux ou d’une transaction, toute construction antérieure au 1er juillet 1997 doit obligatoirement faire l’objet d’un repérage d’amiante. Cette démarche, réalisée par un technicien certifié, a pour objectif de localiser les matériaux à risque, d’analyser leur état, et de conseiller sur les meilleures mesures à prendre, comme la surveillance, la mise en sécurité ou le retrait des éléments concernés. Protéger les personnes et assurer la conformité Faire appel à un expert agréé garantit non seulement un contrôle approfondi et conforme à la réglementation, mais offre aussi un accompagnement personnalisé pour la gestion des risques liés à l’amiante. Avant toute opération de rénovation ou de vente, l’intervention d’un professionnel constitue le seul moyen fiable d’identifier ces dangers cachés et de sécuriser tous les utilisateurs du bâtiment.

Le permis de louer en Normandie : un contrôle pour la qualité du logement locatif
24 octobre 2025

Le permis de louer en Normandie : un contrôle pour la qualité du logement locatif

La Normandie, comme d'autres régions françaises, applique le dispositif du permis de louer dans certaines de ses communes pour lutter contre l’habitat indigne et protéger les locataires. Grâce à cette mesure, le propriétaire souhaitant louer un bien doit obtenir l'accord préalable de la mairie. Cette autorisation atteste que le logement loué respecte les critères de décence et de salubrité définis par la loi. Pourquoi mettre en place le permis de louer ? Les communes qui instaurent ce dispositif souhaitent garantir aux locataires un logement sûr, sain et conforme à la réglementation. Le permis de louer permet aussi de responsabiliser les bailleurs et d’identifier rapidement les logements nécessitant des travaux avant toute mise en location. Comment cela fonctionne-t-il ? Le propriétaire doit déposer une demande d'autorisation à la mairie avant la signature du bail pour chaque nouvelle location ou changement de locataire dans les zones concernées. Une visite de contrôle du logement peut être effectuée. En cas de location sans permis ou malgré un refus, le bailleur s’expose à des sanctions financières pouvant atteindre 15 000 €. Quels sont les avantages pour les habitants et les collectivités ? Amélioration de la qualité des logements proposés à la location Protection réelle des locataires contre l’insalubrité Identification rapide des situations abusives ou dangereuses Communes concernées par le permis de louer en Normandie Calvados (14) Caen Dives-sur-Mer Hérouville-Saint-Clair Mondeville Eure (27) Bernay Quillebeuf-sur-Seine Manche (50) Carentan-les-Marais Cherbourg-en-Cotentin Villedieu-les-Poêles-Rouffigny Seine-Maritime (76) Bolbec Caudebec-lès-Elbeuf Darnétal Dieppe Elbeuf Grand-Quevilly Lillebonne Maromme Notre-Dame-de-Bondeville Oissel Petit-Couronne Petit-Quevilly Rouen Saint-Aubin-lès-Elbeuf Saint-Étienne-du-Rouvray Saint-Pierre-lès-Elbeuf Avant de mettre en location un bien dans l’une de ces villes, renseignez-vous auprès de la mairie pour accomplir toutes les démarches nécessaires relatives au permis de louer.

Propriétaires : maximisez la valeur de votre logement grâce à la réforme DPE 2026
23 septembre 2025

Propriétaires : maximisez la valeur de votre logement grâce à la réforme DPE 2026

Comprendre l’impact de la réforme DPE 2026 sur votre patrimoine La prochaine modification du diagnostic de performance énergétique (DPE), prévue pour le 1er janvier 2026, va modifier en profondeur les critères d’évaluation énergétique de la plupart des logements. Cette réforme, annoncée par le gouvernement, introduit notamment un nouveau coefficient d’énergie primaire (CEP) appliqué à l’électricité, ce qui peut influencer fortement la classification énergétique des biens immobiliers, en particulier ceux chauffés à l’électricité. Ce que change la révision du coefficient d’énergie primaire À compter de 2026, le coefficient d’électricité va être ajusté et passera de 2,3 à 1,9. Concrètement, ce changement va permettre à environ 850 000 logements de sortir des catégories réputées énergivores (classes F et G), selon les estimations officielles. Certains appartements, surtout les plus petits, pourront même constater un gain de une à deux classes sur leur étiquette énergétique. Ce nouveau mode de calcul offre ainsi une opportunité unique de rehausser la qualité énergétique perçue de nombreux logements chauffés à l’électricité, contribuant ainsi à leur valorisation sur le marché. Simulez dès maintenant votre future étiquette énergétique Pour aider les propriétaires à anticiper cette évolution, il existe désormais un simulateur gratuit et en ligne. Après avoir saisi quelques informations sur votre bien, vous pourrez estimer la classe DPE qui s’appliquera dès 2026, selon les critères issus de la réforme. Ce service est particulièrement utile pour savoir si votre logement restera concerné par les obligations relatives aux passoires énergétiques, mais aussi pour préparer une mise en vente ou en location. Obtenez en quelques clics une estimation actualisée de la classe énergétique de votre bien. Vérifiez si votre logement sort de la catégorie des passoires énergétiques. Bénéficiez d’une visibilité accrue pour la vente ou la location, conformément aux nouveaux standards. Pourquoi agir sans tarder ? La loi Climat et Résilience continue de durcir les règles à l’encontre des logements énergivores, avec interdiction progressive de mise en location pour les classes F et G. Grâce à la réforme du DPE, une grande partie de ces logements pourraient voir leur situation s’améliorer et leur valeur augmenter. En anticipant cette évolution, vous pouvez baliser plus sereinement votre stratégie immobilière, qu’il s’agisse de vendre, de louer ou de rénover votre bien. Un accompagnement sur-mesure pour valoriser votre logement Outre le simulateur en ligne, il est possible de bénéficier de conseils personnalisés délivrés par des spécialistes certifiés. Ces professionnels sont à même de réaliser des diagnostics immobiliers fiables et à jour, de recommander des travaux ciblés pour accroître la performance énergétique et d’accompagner chaque propriétaire dans la valorisation de son parc immobilier. En conclusion : préparez-vous efficacement à la réforme La réforme du DPE 2026 représente une opportunité majeure pour bon nombre de propriétaires, en particulier ceux détenant des biens alimentés à l’électricité. Grâce au nouveau simulateur, chacun peut anticiper l’impact de ces changements et adapter la gestion de son patrimoine immobilier. Prenez une longueur d’avance : estimez dès aujourd’hui la nouvelle classe énergétique de votre logement et assurez-vous de tirer profit de la réforme en testant gratuitement votre situation ici : Simulateur DPE 2026 .

Passoire thermique : est-ce la fin avec la baisse du coefficient électrique
Publié le 07 Août 2025

Passoire thermique : est-ce la fin avec la baisse du coefficient électrique

Une modification majeure du diagnostic énergétique Le gouvernement français a récemment révélé un changement important concernant le Diagnostic de Performance Énergétique (DPE) : dès le 1er janvier 2026, le coefficient de conversion de l’électricité sera abaissé de 2,3 à 1,9. Cet ajustement, s’inscrivant dans la volonté de se conformer aux directives européennes, fait suite à une précédente révision datant de 2020, lorsque le mix énergétique nationale avait déjà évolué vers davantage de sources renouvelables. Des conséquences tangibles pour les logements et les propriétaires Au premier abord, cette évolution peut sembler purement technique. Pourtant, elle aura des répercussions concrètes sur la vie de nombreux Français : Les habitations dotées d’un chauffage électrique verront automatiquement leur étiquette énergétique s’améliorer, sans nécessité de travaux ou de rénovation. Environ 850 000 biens immobiliers perdront leur statut de passoires thermiques uniquement grâce à cette modification de calcul. Ce changement pourrait renforcer l’attrait pour le chauffage électrique, au risque de négliger d’autres alternatives performantes comme les systèmes hybrides, les chaudières utilisant le biogaz ou les installations connectées à des réseaux d’eau chaude. La nouvelle formule du DPE risque de créer un écart entre la note énergétique affichée et la réalité des factures d’énergie payées par les occupants. Du côté des bailleurs, une amélioration de la note énergétique sans intervention sur le bâti pourrait réduire la motivation à investir dans la rénovation des logements, mettant en péril la dynamique enclenchée ces derniers temps dans la transition énergétique. Des inquiétudes pour les acteurs du bâtiment Les professionnels travaillant dans le secteur de la rénovation énergétique, tels que les artisans et les entreprises spécialisées, se montrent préoccupés par cette évolution. Certains syndicats, notamment la CAPEB, redoutent que cette mesure : désavantage les experts qui mettent tout en œuvre pour effectuer des rénovations de qualité et améliorer durablement la performance des logements, entretienne la confusion parmi les ménages désireux de comprendre les enjeux de la transition énergétique, remette en cause les efforts engagés pour décarboner le parc immobilier français, conformément à la Stratégie Nationale Bas Carbone (SNBC). L’importance de garder une ligne claire et équitable Pour garantir la confiance de tous, qu’il s’agisse des particuliers, des bailleurs ou des professionnels du secteur, il est fondamental que les outils réglementaires tels que le DPE reposent sur des bases stables et facilement compréhensibles. Avant toute modification de leurs paramètres, une analyse approfondie des effets attendus reste indispensable afin d’assurer une politique de rénovation énergétique à la fois efficace, accessible et durable. Dans ce contexte, il apparaît essentiel que la réflexion collective se poursuive, afin de ne pas fragiliser les progrès réalisés en matière de transition énergétique. Les experts et acteurs de la filière continueront quant à eux de jouer leur rôle d’accompagnateurs et de conseillers, pour guider, expliquer et promouvoir des solutions réellement performantes au service de tous.

Mesurage immobilier comment s’y retrouver entre loi Carrez et Boutin
Publié le 15 Juillet 2025

Mesurage immobilier comment s’y retrouver entre loi Carrez et Boutin

Comprendre les différences entre loi Carrez et loi Boutin Lorsqu’il s’agit de mesurer la surface d’un bien immobilier, deux normes se détachent : la loi Carrez et la loi Boutin. Souvent associées à la vente ou à la location, elles répondent toutefois à des besoins et des exigences distincts. Pour y voir plus clair, il est essentiel de connaître leur objectif et leur champ d’application. A quoi sert la loi Boutin ? La loi Boutin a vu le jour en 2009 pour améliorer la transparence dans la location de biens immobiliers. Cette mesure s’adresse surtout aux locataires, leur garantissant une information fiable sur la surface habitable du logement proposé à la location. La surface habitable concerne l’ensemble des pièces utilisables du logement, y compris les pièces principales et les combles aménagés. Certaines zones comme les murs, les cloisons, les embrasures ou encore les caves sont exclues du calcul. Pour être considéré comme décent selon la loi Boutin, le logement doit avoir au moins une pièce principale de 9 m² avec une hauteur sous plafond minimale de 2,20 m, ou bien présenter un volume habitable d’au moins 20 m³. Le diagnostic réalisé lors de la signature du bail permet ainsi d’assurer une équité entre le bailleur et le locataire. Découvrir la loi Carrez Adoptée en 1996, la loi Carrez s’adresse principalement aux futurs acquéreurs d’un bien en copropriété. Son but est de donner une information précise sur la surface réelle du bien mis en vente. Elle s’applique donc lors de toutes transactions immobilières impliquant ce type de logement. La superficie privative, selon la loi Carrez, concerne l’espace dont la hauteur sous plafond dépasse 1,80 mètre. Sont intégrés dans ce calcul des espaces comme les greniers, remises, vérandas ainsi que les combles non aménagés. A l’inverse, des éléments tels que balcons, terrasses et loggias sont exclus du mesurage, car ils constituent des surfaces ouvertes. En cas de vente, l’affichage de la surface Carrez est obligatoire pour garantir la sécurité juridique des transactions. Loi Carrez et loi Boutin : récapitulatif des distinctions Vente ou location : loi Carrez pour la vente de lots en copropriété, loi Boutin pour la location. Surface mesurée : la loi Carrez calcule la surface privative tandis que la loi Boutin s’intéresse uniquement à la surface habitable. Espaces inclus ou exclus : la loi Carrez tient compte de certains espaces non habités sous conditions, alors que la loi Boutin se limite strictement aux espaces de vie. A qui confier le mesurage de son bien ? Pour une évaluation fiable, il est recommandé de faire appel à un diagnostiqueur immobilier professionnel. Ce spécialiste dispose des compétences et des outils nécessaires pour réaliser le mesurage selon les normes en vigueur, qu’il s’agisse d’une vente ou d’une location. Ainsi, bien se renseigner sur la réglementation applicable et choisir un professionnel qualifié restent les meilleures solutions pour éviter les erreurs et sécuriser votre projet immobilier.

En savoir plus sur les diagnostics immobiliers obligatoires

Vous voulez tout savoir sur les diagnostics immobiliers obligatoires ?